[Politique] Tous des pourris @#!

Ce billet, que je tenterai de mettre à jour régulièrement, recensera les coups pourris de nos politiques découverts au détour du web ...

21 Juin 2010
L'affaire Bettencourt continue son bonhomme de chemin aujourd'hui, et c'est Eric Woerth qui en paye le prix.
Sa femme est, depuis 2007, l'une des gestionnaires de la fortunée et senile Mme Bettencourt et Eric Woerth aurait été, par ce biais, parfaitement au courant des fraudes fiscales orchestrée par cette dernière.
Encore une fois, on voit que la corruption, que l'on pensait être l'apanage des pays africains, est bien présente dans nos systèmes.
Nos élites politiques sont bien souvent amis des grandes fortunes, et comment, dans ce cas, inquiéter un ami ...

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16 Juin 2010
La pêche est belle aujourd'hui !

Le canard enchainé, grand vecteur de révélations a récemment dénoncé 3 beaux abus:

• Rama Yade qui avait dénoncé le train de vie des bleus pour la coupe du monde, dont le prix exhorbitant des chambres d'hotel, aurait en fait prévu de passer 3 nuits dans un hotel bien plus couteux: 667€ la nuit !!



• Le secrétaire d'Etat Christian Blanc se serait fait, quant à lui, financer pour 12 000€ de cigare ces 10 derniers mois...



• Dans le même genre, le secrétaire d'Etat à la Coopération Alain Joyandet aurait réussi à obtenir un permis de construire pour une villa de plus de 200m² près de St Tropez alors que la loi limite la superficie à quelque chose comme 150m²


Source de ces 3 abus


• Par ailleurs, une autre info, plus ou moins cachée est également tombée aujourd'hui. Mme Bettencourt, la femme la plus riche de France, bénéficierait d'un appui non négligeable de l'Elysée pour passer au travers des mailles de la justice.
  Je cite:
  

  Lors d'une conversation privée enregistrée le 23 avril 2010, le gestionnaire de la fortune de Mme Bettencourt, Patrice de Maistre, aurait expliqué à la milliardaire avoir vu Patrick Ouart, conseiller pour les affaires judiciaires de Nicolas Sarkozy jusque fin 2009. "Il a voulu me voir l'autre jour et il m'a dit : monsieur de Maistre, le président continue de suivre ça de très près (...). Et en première instance, on ne peut rien faire de plus, mais on peut vous dire qu'en cour d'appel, si vous perdez, on connaît très, très bien le procureur", aurait affirmé Patrice de Maistre lors de cet entretien, cité par Mediapart.
  

  
  


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To Be Continued ...